Nous publions ici 40 propositions issues du travail d'experts impliqués dans la préparation du programme du Nouveau front populaire, d’Ensemble, ainsi que de la Droite républicaine. Issues d’une analyse détaillée des propositions présentées par ces familles politiques, elles démontrent qu’il existe des convergences entre ces dernières, et peuvent servir de socle pour le programme d’action minimal d’un gouvernement de coalition.
Une intéressante revue des points de convergences sur lesquels le parlement pourrait trouver des consensus large.
Même sans alliance il faut mécaniquement qu’une majorité de parlementaire se mettent d’accord (à minima passivement en s’abstenant sur une motion de censure après un 49.3). Donc il y a bien des formes de compromis.
Il y a pas besoin d’avoir fait math sup’ pour comprendre que la moindre alliance avec Ensemble, que se soit avec la droite ou la gauche, redonne immédiatement tout son pouvoir a Macron et qu’ainsi il pourra mener la politique qu’il veut.
Une alliance obligera à des compromis programmatique (si c’est avec la gauche, des mesures fiscales ou sur l’immigration seront abandonnées, et avec le RN ça sera sur le volet sociétal).
Le 49.3 c’est si et seulement si on a un gouvernement, ce qui n’est actuellement pas le cas.
Le compromis ça supposerait qu’on ait un président qui soit capable d’accepter les compromis et de ne pas essayer de magouiller outrageusement pour faire passer ses trucs au mépris de ses engagements passés. Hors pour l’instant Macron n’est pas ce genre de président (cf. Gestion des conventions citoyennes).
Même sans alliance il faut mécaniquement qu’une majorité de parlementaire se mettent d’accord (à minima passivement en s’abstenant sur une motion de censure après un 49.3). Donc il y a bien des formes de compromis.
Une alliance obligera à des compromis programmatique (si c’est avec la gauche, des mesures fiscales ou sur l’immigration seront abandonnées, et avec le RN ça sera sur le volet sociétal).
Le 49.3 c’est si et seulement si on a un gouvernement, ce qui n’est actuellement pas le cas.
Le compromis ça supposerait qu’on ait un président qui soit capable d’accepter les compromis et de ne pas essayer de magouiller outrageusement pour faire passer ses trucs au mépris de ses engagements passés. Hors pour l’instant Macron n’est pas ce genre de président (cf. Gestion des conventions citoyennes).